Entreprise alsacienne , heritière d'un long passé textilien d'ennoblisseur à façon, ETC a su se diversifier dans les nouveaux métiers de finition pour les multi-fibres et les tissus à usage technique .
Maitrise des traitements spécifiques aux fibres naturelles :
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mercerisage des cotons
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traitement de surface (flambage/blanchiment/finitions mécaniques diverses)
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teinture pad batch
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dérompage et enzymage
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teinture de la laine en autoclave
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maitrise des tissus stretch.
Maitrise des traitements pour fibres synthétiques à usage technique :
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-laboratoire de process doté déquipements modernes (spectrocolorimètre, formulation couleurs automatique)
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laboratoire de controle qualité
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cellule d'innovation interne
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teinture haute température(overflows)
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teinture des fibres aramides anti-feu
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finitions adaptées aux marchés techniques (hydro/oléo/ignifugation/haute visibilité/anti-bacteriens...)
Préparation adaptée à tous les supports destinés à l'impression numérique
NOS PRESTATIONS
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FLAMBAGE
Les écrus arrivant chez TBC ont en surface (la nappe du tissu) de petites fibrilles (celles-ci proviennent du frottement des métiers à tisser sur les fils).
On les supprime pour obtenir un meilleur aspect visuel ou tactile. Cette opération se fait en léchant le tissu avec une flamme.
On flambe essentiellement le coton pur ou en mélange.
La machine est équipée de 2 rampes de gaz indépendantes, il est possible de flamber le tissu de différentes manières, la flamme peut lécher directement ou indirectement la matière.
On peut également ne flamber qu'une face de la matière, si le client le demande.
Une sonde laser indique la température de manière constante, c'est grâce à cette indication qu'on règle la puissance de la flamme.
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MERCERISAGE
Le mercerisage consiste à imprégner le tissu de soude caustique (le traitement se fait à froid ou à chaud) en le maintenant sous une certaine tension.
Lors du contact entre la fibre de coton et la solution de soude caustique concentrée, il se produit un changement interne de la fibre.
La section primitive du coton prend une forme plus arrondie et la surface plus uniforme réfléchit de façon beaucoup plus homogène la lumière ; ainsi le lustre se trouve sensiblement amélioré.
Cette tension sert à augmenter sa résistance au déchirement, faisant disparaître les cassures et autres plis permanents du tissu.
FINITIONS MECANIQUES
Grattage/Rasage
Une gratteuse est constituée essentiellement de rouleaux appelés « travailleurs » (20 ou davantage). Ils sont recouverts d'un ruban sur lequel se positionnent de petites aiguilles métalliques (à tête en acier trempé) qui vont gratter la surface du tissu. Chaque cylindre tourne dans le sens opposé du précédent (sens du poil et sens en contre poils). Il est possible de faire un grattage sur une ou deux faces de la matière.
Pour obtenir un duvet régulier, il est nécessaire de faire passer plusieurs fois le tissu en un premier temps sur une gratteuse, puis tondre ce même tissu en surface.
Emerisage
Opération destinée à conférer au tissu un toucher « peau de pêche », « microsablée ».
L'émerisage s'effectue fréquemment avant teinture.
La machine est constituée de cylindres recouverts de papier émeri (papier à poncer).
Il existe plusieurs sortes de papier émeri épais ou fin selon leurs grains (granulométrie distincte).
Les cylindres d'un même traitement peuvent être garnis de papier à granulométrie différente, selon le degré d'émerisage souhaité.
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FINITIONS CHIMIQUES
De façon générale, les apprêts chimiques consistent essentiellement en un dépôt de produits sur la matière textile dans le but de lui conférer des propriétés particulières.
Cet apport peut être obtenu par simple addition de produits en dispersion, en émulsion ou en suspension.
Cependant la permanence des effets étant souvent souhaitée, les apprêts chimiques ont évolué vers la création de véritables liaisons chimiques avec la fibre aux moyens de produits réactifs ou grâce à l'usage de prépolymères réticulables formant un film macromoléculaire autour des fibres.
Il est possible de répartir les apprêts chimiques en quatre groupes :
Les apprêts de tenue à l'usage
Ces apprêts ont pour but d'améliorer la durabilité de l'article et de faciliter les opérations d'entretien courant (lavage, séchage). On retrouve dans cette classe, les apprêts par réticulation (infroissabilité du coton, stabilisation dimensionnelle), l'apprêt infeutrable sur laine, les apprêts soil-release et anti-éraillant, ainsi que les produits destinés à améliorer les niveaux des solidités des teintures.
Les apprêts de protection
Cette catégorie reprend les traitements qui visent à protéger l'article en fonction de sa nature propre et de son environnement futur (hydrofugation, oléofugation, ignifugation, biocide, antistatique).
Les apprêts organoleptiques
Il s'agit des apprêts agissant sur un organe des sens, et donc ayant une action à caractère purement subjectif. Il peut s'agir d'apprêts de charge, de garniture, de modification du toucher, mais aussi ceux plus connus d'adoucissage, de brillantage, d'enduction fine…
Les autres apprêts
Les apprêts ne figurant pas dans les trois catégories précédentes peuvent néanmoins apporter des propriétés bien précises comme l'aptitude à la confection, l'azurage optique, ou l'amélioration des propriétés mécaniques.
On a vu apparaître depuis peu une nouvelle génération d'apprêts agissant sur le principe de micro-encapsulation (aux vertus thermorégulantes, cosmétotextiles…).
TEINTURE PAD BATCH
Ennoblissement par la teinture de la matière en foulardage.
Ce procédé de teinture est semi-continu réactif à froid.
Un bain de teinture se compose de colorants et des fixateurs (alcali). Il est admis d'avoir 4/5 de colorants pour 1/5 de fixateur (« rapport de bain »).
Le foulardage
La teinture se développe en 3 temps :
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Immersion du tissu dans le bain de teinture
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Exprimage (élimination du surplus de colorants)
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Enroulage + stockage du tissu
Bain de teinture alimenté par une pompe doseuse (devant avoir une température constante entre 20 /23°)
La chambre climatisée
Après teinture, le tissu est emballé et stocké.
Il est entreposé dans une chambre tempérée à une température de 20°C et mis en rotation pour favoriser une imprégnation homogène.
Le temps technique de fixation se fait en fonction du type de colorant utilisé.
Le lavage
Après avoir été entreposé, le tissu est lavé dans une machine à cycle continu (laveuse en cascades), afin
d'optimiser la fixation du colorant et d'éliminer tout surplus non/mal fixé.
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TEINTURE HAUTE TEMPERATURE
La teinture discontinue se fait par épuisement du colorant qui se fixe graduellement dans le tissu.
Certaines fibres comme le polyester nécessitent des températures de teinture élevées.
En teinture discontinue, peuvent être traités tous types de fibres, tissus et tricots (polyester, polyamide, viscose, coton) et peuvent être réalisées toutes teintures en colorants dispersés, acides, réactifs et cuve.
Chez TBC, les machines recommandées pour teinture discontinue sont :
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Machine à matière mobile et bain statique (Jigger, Barque)
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Machine à bain mobile et matière statique (Autoclave)
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Machine à bain et matière mobiles (Over-flow, Air-flow, Jet)
Capacité du parc de teinture discontinue : machine de 20 à 400 kg
TRAITEMENTS ENZYMATIQUES
Les enzymes utilisées pour l'assouplissement des tissus de coton sont du type cellulase.
Ce terme cellulase reprend toutes les enzymes capables d'hydrolyser la cellulose.
Le traitement enzymatique de surface et d'assouplissement de tissus cellulosiques consiste à éliminer les fibres
en surface sous l'action de la cellulase.
Il est ainsi possible de réduire ou d'éliminer la pilosité et le duvet responsable du boulochage et de la formation de boutons.
Parallèlement, l'élimination des fibres en surface des fils permet une amélioration du toucher et un assouplissement du produit.
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LE RETRAIT MECANIQUE (SANFOR)
Opération destinée à supprimer les tensions en chaîne et en trame et à réduire le retrait au lavage.
Un tissu ennobli renferme de nombreuses tensions occasionnées par les opérations de filature, de tissage et d'ennoblissement. Afin d'éviter les rétrécissements importants pendant le lavage des objets confectionnés, on procède à une rétraction compressive du tissu décomposée en :
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Vaporisage (humidification du tissu)
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1 passage sur rame (maintien du tissu à plat)
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Compression entre manchon en caoutchouc et feutre
Un vaporisage
Il permet d'humidifier le tissu et de faire regonfler les fibres aplaties pendant l'opération de séchage.
Un passage sur rame
Il permet une égalisation mécanique de la laize du tissu.
Une compression mécanique entre manchon en caoutchouc et feutre
Le tissu est bloqué dans le sens de la longueur et plaqué contre un sabot chauffé (le tissu bloqué entre feutre et cylindre inox se rétracte longitudinalement).
Bain de teinture alimenté par une pompe doseuse (devant avoir une température constante entre 20 /23°)
LE CONTROLE QUALITE
Le laboratoire de contrôle vérifie les paramètres suivants, tous tests réalisés selon les normes en vigueur :
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Abrasion
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Déchirure amorcée (contrôle de la résistance à la déchirure)
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Défroissabilité (contrôle visuel de froissabilité d'un tissu)
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Glissement de couture
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Laize (largeur) en centimètres
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Masse surfacique (poids) en grammes/m²
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Pilling
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Repassabilité = tests Monsanto (lavage, séchage, repassage presse)
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Résistance dynamométrique (contrôle de la résistance du tissu à la traction)
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Solidités des coloris (contrôle de la solidité des colorants au lavage)
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Solidité aux frottements (contrôle de la solidité de la couleur sur sec et/ou mouillé)
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Solidités lumière
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Solidité à la sueur (acide ou alcaline)
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Stabilités au bouillon (lavage de l'écru à 90°)
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Stabilités dimensionnelles (contrôle sur produits finis selon normes en vigueur = lavage à 30°/40°/40°/90°, séchage air/tumbler/fil)
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TRAITEMENT DE L'IMAGE ET DE L'IMPRESSION TEXTILE
Impression transfère sur mesure de quantité usine pouvant atteindre les 1500 mètres par jour.
l'équipe se compose de deux personnes à ce jour, Jocelyn Jagot et Frank Beuret. Nous travaillons sur avec la suite Adobe nettement Photoshop et Illustrator.
Le procédé de transfert est simple, grâce notre équipement d'impression comprenant une imprimante Mimaki et une presse d'usine MS JP4 nous pouvons imprimer jusqu'à 100 mètres de papier transfert par heure.
L'intérêt majeur de ce procédé se situe au niveau de l'absorption du colorant par le tissu. Il n'adhère pas sur le coton, sur un tissu composé de plusieurs fibres comme du polyester et coton, seul le polyester sera imprimé, ce qui peut rendre de magnifiques motifs.
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